Recherche par auteur : Moulins, Xavier de
3 résultats.
Lu par : Sonia Imbert
Durée : 2h. 54min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 70007
Résumé:« Mon garçon, je dois te parler de Carla. De l’année de mes quinze ans, quand avant toi je me suis retrouvé à l’arrière de la voiture de mon père, avec cette sensation de cœur en lambeaux et cette envie folle d’en finir. Au cours de sa vie, on croit souvent mourir à cause des autres. Et un jour on prend conscience que les autres n’ont rien à voir avec ça. Tu verras. » Dans son nouveau roman, Xavier de Moulins nous embarque sur la route, celle qui sépare et réunit, un jour ou l’autre, un père et son fils.
Lu par : Nicolas Ooghe
Durée : 2h. 40min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 37501
Résumé:Deux ans après la mort de son père, figure admirée mais écrasante, Paul commence seulement à reprendre goût à la vie. Père solaire et flamboyant, Jean-Paul planait sur la vie de son fils, jusqu’à un soir de novembre 2013 où tout a basculé.
Lu par : Lisette Vogel
Durée : 2h. 42min.
Genre littéraire : Roman : au sens large et aventures
Numéro du livre : 19917
Résumé:« C'est pour rester proche de mes filles que je me suis installé à trois rues de leur mère, trois semaines tout juste après l'avoir quittée pour une autre. Pourtant, j'ai toujours été contre la rupture de proximité. Plutôt du genre à penser que lorsqu'un couple se viande et enterre son histoire, il convient de séparer les tombes, ne pas faire cimetière commun. Je m'étais même toujours dit que, si un jour ça nous arrivait à Alice et moi, eh bien que j'irais me refaire à l'opposé, question de principes et de territoire. Bien sûr, j'ai fait l'inverse. Et j'ai cherché la bonne distance, pour installer un nouveau chez-moi. La bonne distance, c'était la croisée des chemins entre vie d'avant et vie à venir, entre deux saisons, l'été et l'hiver. C'était simple en théorie, jeté comme ça sur le papier. La bonne distance, c'était une sorte de Yalta, un partage sinon du monde, du moins d'un arrondissement, d'un quartier, d'une rue, sans casque bleu pour maintenir la paix, mais un processus, un accord tacite comme entre deux pays belligérants, entre deux bandes rivales au lycée. Avec Alice, on s'était mis d'accord dans l'intérêt des enfants. »